Quelle déception amère !
Erich Weinert, membre des brigades internationales, a écrit : « Autrement dit, le gouvernement français ne nous a pas accueillis comme les vétérans d’une guerre d’indépendance, mais comme des prisonniers qui seraient arrivés à Cayenne. Quelle déception amère ! » (Los Españoles del Winnipeg, J. Ferrer Mir, p.37)